La grande crise de la presse ouverte dans les années 2010 s’achève, du
moins sur le plan économique. D’un côté, les groupes traditionnels qui
ont misé sur l’information payante en
ligne et les abonnements renouent avec les bénéfices. De l’autre ont
émergé des dizaines de sites d’info-divertissement entièrement
dépendants de la publicité — et donc du nombre de pages vues.