À en croire M. Donald Trump, la frontière américano-mexicaine serait une
passoire que seule la construction d’un « grand et beau mur », long de 3
200 kilomètres, pourrait obstruer. Les
États-Unis n’ont pourtant pas attendu leur nouveau président pour
traquer les migrants clandestins. En Arizona, le désert, les patrouilles
de police et les milices citoyennes les tiennent en échec.