Une «menace stratégique». C’est ainsi que le gouvernement Netanyahou,
qui sera reçu en grande pompe mardi 5 juin à l'Élysée, qualifie la
campagne internationale de boycott,
désinvestissement et sanctions (BDS) lancée en 2005 par 172
organisations non gouvernementales, syndicales et politiques
palestiniennes. — Analyse d'Isabelle Avran désormais en accès libre.
Clément Chapillon. — Dans le nord de la Cisjordanie, entre deux colonies, 2016