De la prise d’otages, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 3 mai 2017)
 Nouveau billet de Frédéric Lordon — « Dans le concert pour cymbales et sanibroyeurs qui tympanise le pays entier, il n’est, à quelques exceptions près, pas un instrumentiste
 qui n’ait une part de responsabilité, politique ou idéologique, dans la
 situation présente – contre laquelle il jure ses grands dieux être prêt
 à faire barrage de son corps (si seulement…). »
 
« Les fractures boulangères suivent les fractures banquières... tout le monde est pris en otage même le pain ! »
cc Daniel