Dans «Classé sans suite», Claudio Magris poursuit son vertigineux inventaire du passé et de ses persistances, afin, comme il le soulignait dans «Utopie et désenchantement»,
de «défendre la mémoire historique, qui risque d’être effacée, et sans
laquelle on ne peut plus sentir la plénitude et la complexité de la
vie».
