Hubert Védrine : « Les élites et les dirigeants européistes, qui n’ont
jusqu’ici jamais envisagé un quelconque droit d’inventaire sur leur
bilan et réagissent sur un ton outragé à
la moindre critique, (…) doivent admettre un compromis historique avec
les peuples, d’autant [qu’il] n’y a pas de chemin démocratique vers le
fédéralisme, ni par référendum ni par les parlements. »