lunes, 27 de noviembre de 2017

Au Sinaï, une « sale guerre » qui ne dit pas son nom, par Ismaïl Alexandrani (Le Monde diplomatique, septembre 2014)

Au Sinaï, une « sale guerre » qui ne dit pas son nom, par Ismaïl Alexandrani (Le Monde diplomatique, septembre 2014)

 

 

L’attentat
de vendredi dans le Sinaï, au cours duquel des djihadistes ont attaqué
une mosquée, tuant au moins 305 personnes, est le plus meurtrier de
l’histoire récente de l’Égypte. Pourquoi
viser une tribu soufie, qui espérait être indépendante à la fois de
l’Organisation de l’État islamique et des autorités égyptiennes ?
Emprisonné depuis le 29 novembre 2015 pour avoir critiqué la politique
sécuritaire du maréchal Abdel Fatah Al-Sissi, le journaliste Ismaïl
Alexandrani analysait en 2014 l’évolution des mouvements djihadistes
dans la région.

 JPEG - 250.5 ko