INTERVIEW
- Vice-président du gouvernement régional catalan à l'époque des faits,
il sera jugé le 5 février pour « soulèvement violent » contre les
institutions à la suite du référendum d'autodétermination et de la
déclaration de sécession qui s'était ensuivie. Placé en détention
provisoire, il s'entretient pour la première fois au parloir avec un
média français.