Max Gallo est mort. Une décennie avant d’embrasser le sarkozysme,
l’historien prolixe écrivait occasionnellement pour le « Monde
diplomatique ». En 1992, pour le
cinquième centenaire du premier voyage de Christophe Colomb en Amérique,
il livrait ses réflexions sur les commémorations de « l’une de ces
bifurcations majeures de l’histoire ».